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Sophie Moser, piano / Katja Huhn, piano
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Furtwängler - Beethoven : Sonates pour violon et piano
Sophie Moser, piano / Katja Huhn, piano
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Label : | Profil |
EAN : | 0881488110487 |
Format : | SACD hybrid |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2011 |
Code Prix : | UVM001 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 22/04/2016 |
Compositeur/Artiste Principal : | Furtwngler / Beethoven |
Wilhelm Furtwängler (1886-1954) : Sonate pour violon et piano n°1 en ré min - Ludwig Van Beethoven (1770-1827) : Sonate pour piano et violon n°1 en ré Maj Op.12/1.
C'est le même duo de jeunes artistes, la pianiste Katja Huhn et la violoniste Sophie Moser, qui nous avait offert une remarquable deuxième sonate, qui officiait de nouveau pour la première sonate, écrite en 1935, soit quatre ans avant sa cadette. C'est dailleurs entre 1935 et 1954, année de sa mort, que Furtwängler composa ses principaux opus, avec, outre ces deux sonates pour violon et piano, un Quintette avec piano (1935), un Concerto symphonique (1937) et trois symphonies (n°1 en 1941, n°2 en 1945 et n°3 en 1954). En quatre mouvements de coupe classique, toute aussi longue si ce nest plus que la n°2, cette sonate est peut-être plus ardue et austère pour lauditeur, du fait dun matériau thématique moins bien dessiné et de développements moins inspirés, en un mot, elle semble moins aboutie que sa suivante et le risque de ne pas réussir à capturer lattention du public sur ces plus de quarante minutes est réel. Heureusement, la vigueur et lénergie avec lesquelles les deux interprètes ont empoigné loeuvre leur permirent de la propulser droit vers sa cible, utilisant sans doute au maximum les capacités de rebonds et de contrastes contenues dans chacun des mouvements, variant tempo et dynamique sans hésitation, suivant en cela les nombreuses et très précises indications que le compositeur a laissé sur sa partition (il y en a presque autant que chez Schoenberg). Cette interprétation à la fois respectueuse du texte et fondamentalement volontaire et dynamique a été incontestablement un choix gagnant qui permit au public présent de découvrir un peu plus le compositeur caché derrière le glorieux chef dorchestre. Et si nous avions dit que la version de la Sonate n°2 que nous avait donnée il y a deux ans ces deux artistes étaient la meilleure de celles (pas si nombreuses) que nous ayons entendues, cest encore plus vrai pour celle-ci. Patrick Georges Montaigu pour ResMusica.com