Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
111199
Nouveau
Anne Le Bozec, piano / Alain Meunier, violoncelle
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
Beethoven : Intégrale des Sonates pour piano et violoncelle
Anne Le Bozec, piano / Alain Meunier, violoncelle
Destinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Maguelone |
EAN : | 3576071111992 |
Nombre du Support : | 2 |
Année édition : | 2013 |
Code Prix : | UVM011 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 26/05/2015 |
Compositeur/Artiste Principal : | Beethoven |
Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Sonate en fa Maj Op.5 n°1, Sonate en sol min Op.5 n°2, Sonate en la Maj Op.69, Sonate en do Maj Op.102 n°1, Sonate en ré Maj Op.102 n°2, Sonate Op.64 (du trio en mi b Maj Op.3)
Deux interprètes d'exception, Anne Le Bozec et Alain Meunier, se rencontre autour du premier cycle pour violoncelle et piano de lhistoire de la musique : un sommet de la musique de chambre en forme de portrait intime du compositeur. Dans ce cycle, ils ajoutent une sonate méconnue : la transcription de son Trio à cordes op.3._ Outre le corpus des 5 sonates originales (0p. 5 n° 1&2, 69 et 102 n°1&2), ce double CD comprendra l'op.64 en Mi b Majeur, qui n' est autre que la transcription du trio à cordes Op. 3 n°1. ( 1794-95 ), parue à Vienne en 1807 chez l'éditeur Artaria. Cet arrangement n'a pu voir le jour qu'avec son assentiment. La transcription était couramment pratiquée à l'époque, dotée du double mérite de faire circuler et connaître les oeuvres, et de présenter un bénéfice alimentaire pour leur auteur - réalité à laquelle Beethoven n'était point insensible. Outre la qualité de cet opus, sa présence dans l'enregistrement nous permet de constater à quel point Beethoven, dès qu'il se confronte à la forme de la sonate et plus particulièrement pour ces deux instruments (Op. 5), y développe un langage d'une toute autre envergure, qu'il n'aura de cesse de faire évoluer, au-delà de l'apogée de la 3e sonate Op. 69, vers une contraction ou même une dissolution (Op. 102).