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Beethoven : Sonates Op.7 & 57, Variations sur un thème de Salieri, Andante / Dominique Merlet
Dominique MerletDestinataire :
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Label : | Le Palais des Dégustateurs |
EAN : | 3760011350057 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2016 |
Code Prix : | UVM005 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 28/05/2021 |
Compositeur/Artiste Principal : | Beethoven |
Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Sonate n°4 en mi b Maj Op.7, Dix variations en si bémol majeur, sur l'air "La stessa, la stessissime" de l'opéra "Falstaff" de Salieri, WoO 73, Sonate n°23 en fa min Op.57 ‘Appassionata'
Dominique Merlet, piano
Comme dans le premier disque, il s'agit de mettre en relation une sonate très connue de Beethoven, avec une de ses sonates de jeunesse, lesquelles ne doivent pas être sous-estimées. Dès ses premières sonates, il y a des mouvements lents très intenses. Il y a également, dans ce programme, une cohérence des tonalités. Je suis sensible à leur enchaînement et j‘ai souhaité respecter une belle harmonie : partant du mi bémol majeur de la Sonate op. 7, nous allons à la dominante avec le si bémol majeur des Variations, puis nous descendons sur une tonalité très proche avec le fa majeur de l'Andante favori, avant de terminer avec sa tonalité homonyme, le dramatique fa mineur de l'Appassionata. Même si l'auditeur ne l'analyse pas, je pense qu'il doit être sensible à cette harmonie des tonalités. J'ai eu beaucoup de remarques positives pour le premier CD, dans lequel les tonalités s'enchaînaient également très bien (do mineur – mi bémol majeur – do mineur). De la même manière que les tonalités des mouvements, à l'intérieur d'une œuvre, ne sont pas laissées au hasard, il me paraît très important d'y être attentif pour la construction d'un disque. Cela ne fait que renforcer les ruptures voulues par le compositeur, comme ce surprenant si majeur, pianissimo, à la fin des Variations.Dans le premier CD, j'avais fait remarquer : « Ce programme donne une idée assez complète du génie beethovénien. Il manque seulement le côté pittoresque, humoristique. » Nous l'avons ici avec les Variations. On voit Beethoven toujours sous l'aspect ténébreux, irascible, très profond, mais il n'y a pas que cela : il allait dans les tavernes ! À Heiligenstadt, j'ai visité sa maison, qui est juste à côté d'une auberge, au bout de sa rue : il y allait sans doute quelquefois. Ces Variations, très amusantes, élargissent notre vision de Beethoven. Cela m'intéressait de montrer cet aspect inattendu de Beethoven, au milieu de pages plutôt sévères.