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ODRCD368
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Bach, C-P-E : Abschied / Vittorio Forte
Vittorio Forte, pianoDestinataire :
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Label : | ODRADEK |
EAN : | 0855317003684 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2019 |
Code Prix : | UVM010 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 22/03/2019 |
Compositeur/Artiste Principal : | Bach |
Carl Philipp Emanuel Bach (1714-1788) : Abschied vom Silbermannschen Klavier - einem Rondo en mi min Wq. 66, Fantaisie en do Maj Wq. 59/6 (H284), Fantaisie en fa # min Wq. 67, Freie Fantasie Wq. 58/7 (H278), Rondo I en la Maj Wq. 58/1 (H276), Rondo II en do min Wq. 59/4 (H283), Rondo II en ré min Wq. 61/6 (H291), Rondo en la min Wq. 56/5 (H262), Rondo en ré min Wq. Bach61/4 (H290), Rondo en mi Maj Wq. 57/1 (H265), Sonata en mi min Wq. 59/5 (H279), 12 Variations sur la Folie d'Espagne Wq. 118/9/H263
L'instrument préféré de Carl Philipp Emanuel Bach était un clavicorde de Gottfried Silbermann. En 1781, il lffrit à son élève Ewald von Grotthuss, avec le rondo Abschied von meinem Silbermannischen Claviere (Adieu à mon clavicorde Silbermann). Grotthuss retourna ce geste avec un rondo à lui. Beaucoup seront en mesure de comprendre la nature douce-amère de cette histoire: en disant «adieu» (Abschied) à quelque chose de précieux, on éprouve un sentiment inévitable de perte, mais aussi le plaisir d'offrir des encouragements tangibles en confiant à quelqu'un un cadeau très personnel. Lmpression que C.P.E. Bach était musicalement sur le point de «passer le témoin» reflète la signification plus large de sa musique, qui sppuyait simultanément sur les traditions du passé, en particulier celles de son père, J.S Bach, tout en regardant vers l'avenir pour ouvrir la voie au classicisme de Mozart, Haydn et Beethoven. En 1773, l'historien de la musique Charles Burney (1726-1814) témoignait de cette dimension en écrivant à propos de son contemporain, Carl Philipp Emanuel Bach: «Ses pièces ... après un examen attentif, seront jugées si riches en invention, en goût, et en savoir, que ... chaque ligne d'entre elles ... fournirait bien plus ddées nouvelles que ce qul existe dans une page entière de bien d'autres compositions». Burney reconnaissait également les facettes les plus insolites du style de C.P.E. Bach, estimant que ses œuvres étaient «si peu communes, qu'une certaine habitude est nécessaire pour leur appréciation».