Opus Bach - Oeuvres pour orgue Volume 3 / Peter Kofler

Jean-Sébastien Bach (1685-1750) : Prélude et fugue BWV 533, Fantaisie et fugue BWV 542, Orgelbüchlein BWV 618-624, Chorale partitas BWV 770, Anh. 78, Fantaisie BWV 1121, Fugue BWV 574, Chorals Neumeister BWV 1098-1100, Préludes et fugues BWV 546, 551, 544, Prélude BWV 569, Dix-huit chorals Leipziger BWV 656, 665, 666, 653 Chorale fantasia BWV 1128, Fugue BWV Anh. 97, Préludes et fugues BWV 566, 545b, Aria BWV 587, Orgelbüchlein BWV 613-617, Sonate en trio BWV 530, Chorals de Kirnberger et autres chorals BWV 721, 724, 697, 703, 698, 733, 700, 701, 710, 694, Prélude et fugue BWV 534, Passacaille BWV 582, Chorals de Neumeister BWV 714, 742, 1101-1103, 737, 1104-1111, Sonate en trio BWV 526, Fantaisie et Fugue BWV 562, Toccata et Fugue BWV 538, Chorals de Kirnberger et autres chorals BWV 709, 726, 727, 712, 713, 728, 706, 732, 734, 1085, 735, 691, 690, 736, Concerto BWV 593, Fantaisie et Fugue BWV 561, Prélude et Fugue BWV 532, Dix-huit chorals Leipziger BWV 662-664, 655, 668, Choral BWV 725, Fugues BWV 578, 131a

Peter Kofler, orgue (Orgue Rieger de l'église jésuite St. Michael, Munich)

“ (...) L'organiste Peter Kofler joue sur le Rieger à quatre claviers de l'église jésuite Saint-Michel de Munich, avec ses 75 jeux. Il est doté d'un imposant fortissimo et d'une multitude de timbres de jeux caractéristiques. Côté prise de son, il s'agit du tout premier enregistrement d'orgue utilisant le système Dolby Atmos. Ainsi, l'espace de l'intérieur de l'église est authentiquement reproduit non seulement dans ses dimensions horizontales, mais aussi dans son acoustique verticale, sa hauteur spatiale. Une merveille sonore et musicale sur support CD.” Jean-Jacques Millo pour opushd.net

C'est fini. La grande passion de Peter Kofler pour Bach a atteint sa finale sonore. Six ans seulement après sa création en 2017, le natif de Bolzano achève son enregistrement complet sur l'orgue Rieger à quatre claviers de l'église jésuite Saint-Michel de Munich. Ce projet ambitieux a non seulement établi des normes entièrement nouvelles en matière d'ingénierie d'enregistrement, mais il relie en même temps la joie fougueuse d'une approche historiquement informée et les possibilités tonales de la facture d'orgue moderne. En effet, contrairement à d'autres enregistrements complets des œuvres pour orgue de Bach, celui-ci ne s'appuie pas sur des orgues historiques, mais utilise un seul instrument moderne, à savoir l'orgue qui est le foyer musical de Kofler depuis 2008, si riche en couleurs qu'il qualifie lui-même cette richesse de presque inépuisable. Kofler tire parti de cette gamme fascinante en inventant inlassablement de nouvelles combinaisons de sons et de registres, qui s'épanouissent parfaitement et renforcent le caractère de chaque pièce.