Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
358410
Nouveau
Denis Clavier, violon / Dimitri Saroglu, piano / Orchestre Philharmonique de Lorraine / Fernand Quattrocchi, direction
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
Hahn, Reynaldo : Concerto pour violon, Sonate pour violon
Denis Clavier, violon / Dimitri Saroglu, piano / Orchestre Philharmonique de Lorraine / Fernand Quattrocchi, direction
Destinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Maguelone |
EAN : | 3770003584100 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2016 |
Code Prix : | UVM010 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 23/09/2016 |
Compositeur/Artiste Principal : | Hahn |
Reynaldo Hahn (1874-1947) : Concerto pour violon et orchestre*, Romance en la Maj, Nocturne, Sonate en ut Maj pour violon et piano / * Premier enregistrement mondial
Doué d’un esprit des plus fins, ami de Proust, il fut aussi brillant critique et directeur de l’Opéra de Paris à la fin de sa vie. Plus connu pour ses ouvrages lyriques,“Ciboulette”,et ses mélodies, ses oeuvres concertantesdont le Concerto pour violon et la Suite hongroise sont restés quasiment inconnus jusqu’à ce jour- brillent d’un aussi bel éclat et reflètent raffinement , gaité, élégance et sensibilité. Une musique à découvrir et un disque à écouter. Reynaldo Hahn est né en 1875 au Venezuela d'une mère d'origine espagnole et d'un père d'origine allemande, est devenu « le plus Parisien des Parisiens », émule de Brummel dans sa mise toujours impeccable, d’Henri de Régnier quand il porte le monocle, de Gounod et Massenet quand il compose, éloigné des musiques qu’on respire dans certains cénacles : celle de Wagner, par exemple, celle de quelques franckistes aussi trop contraignantes, selon lui, avec leur leitmotive ou leur forme cyclique. Cet homme de goût, à la vaste culture, possède tout autant la politesse du coeur : « La lourdeur, l’ennui, voilà ce qu’il faut à tout prix éviter ; les Muses ne portent pas de lunettes», écrit-il. Ce qui le séduit ? La clarté, la réserve - voire la litote : il y a en lui un classique qui énonce clairement ce qui se conçoit bien. Toutes ses oeuvres le prouvent, qu‘elles soient destinées au piano, à la scène, à l’orchestre ou à la chambre : le présent disque en témoigne et le prouve.