Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
PRI031
Nouveau
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
Beethoven : Quatuors à cordes Op.130, 133 / Quatuor Signum
Quatuor Signum : Florian Donderer, violon / Annette Walther violon / Xandi van Dijk alto / Thomas Schmitz violoncelleDestinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Printemps des Arts de Monte Carlo |
EAN : | 3770005867164 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2019 |
Code Prix : | UVM062 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 10/01/2020 |
Compositeur/Artiste Principal : | Beethoven |
Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Quatuor à cordes n°13 en si b Maj Op.130, Grande Fugue en si b Maj Op.133 (dernier mouvement originel de l'op. 130)
Quatuor Signum : Florian Donderer, violon / Annette Walther violon / Xandi van Dijk alto / Thomas Schmitz violoncelle
C'est dans la version originale de 1826 que les Signum redonnent ce vaste Quatuor à cordes op. 130. Joué une seule fois du vivant de Beethoven, cette œuvre sera ensuite remaniée et allégée à la demande de son éditeur. C'est pourtant sous cette forme première que cette œuvre monumentale prend tout son poids, au crépuscule de la vie du compositeur. Les six mouvements de la version originale témoignent aussi de la volonté de concilier l'hétérogène dans un tout, en faisant se succéder une Cavatina inspirée de l'air vocal, une Danza tedesca inspirée des danses populaires et cette Grande Fugue inspirée de la tradition la plus savante de l'écriture musicale. Dans ce final, l'ombre de Bach surplombe l'œuvre de Beethoven qui considérait le cantor de Leipzig comme le génie le plus imposant de l'écriture savante : sa gigantesque fugue ambitionne de lui faire face, comme un combat de titans.