Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
PDD030
Nouveau
Boris Berman
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
Silvestrov, Valentin : Musique pour piano / Boris Berman
Boris Berman
Destinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Le Palais des Dégustateurs |
EAN : | 3760011350309 |
Format : | 2 CD |
Nombre du Support : | 2 |
Année édition : | 2022 |
Code Prix : | UVM024 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 18/11/2022 |
Compositeur/Artiste Principal : | Silvestrov |
Valentin Silvestrov (1937-*) : Triade (1962), Elegy (1967), Sonata 2 (1975), Sonata 3 (1977), Kitsch-Music (1977), Postludium op. 5 (2005)*, Five pieces op.306 (2021)*, Three pieces (March 2022, Berlin)* / *Premier Enregistrement Mondial
Boris Berman, piano
Trois Pièces (Mars 2022, Berlin) - Oeuvre composée pendant l'exil du compositeur de Kiev à Berlin.
Le grand compositeur ukrainien, âgé de 85 ans, a fait l'objet récemment d'une attention particulière : en mars 2022, cédant aux suppliques de ses proches, il quitta Kiev après le déclenchement de la guerre en Ukraine, gagnant Berlin au terme d'un périlleux périple en voiture. Il est fort dommage qu'il ait fallu ces infortunes pour que sa musique soit enfin reconnue, elle qui couvre plusieurs décennies et dont l'évolution se rapproche de celle d'un Arvo Pärt auquel on le compare souvent. Une amitié ancienne et indéfectible lie Valentin Silvestrov à Boris Berman : « La première fois que j'ai rencontré Silvestrov, au début des années 60, nous vivions tous les deux en Union soviétique, moi à Moscou, lui à Kiev. Lui et moi avons joué les pièces qui ouvrent le programme de la Salle Cortot, Triade (1961-1966). J'ai ensuite quitté l'URSS en 1973 pour m'installer en Israël mais j'ai continué à défendre partout son oeuvre. Je suis heureux que sa musique soit plus souvent interprétée mais je voudrais préciser que les gens se tournent essentiellement vers ses pièces tardives. J'ai pris, de mon côté, la décision d'offrir à la Salle Cortot un panorama de son oeuvre pour montrer l'évolution de son style musical de ces six dernières décennies ». Yutha Tep pour Cadences