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Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
MDC7887
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Moondog : Musique pour Piano / François Mardirossian
François MardirossianDestinataire :
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Label : | Megadisc Classics |
EAN : | 0634065857882 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2020 |
Code Prix : | UVM001 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 19/11/2021 |
Compositeur/Artiste Principal : | Moondog |
Louis Thomas Hardin, dit Moondog (1916-1999) : Barn Dance, Mazurka , Prélude et Fugue n°1 en la min, Santa Fe, The Art of the canon - Book IV- Canon n°1 en do Maj, Elf Dance, Mood Montreux in 3 movements - 1, The Art of the Canon. Book IV - Canon n°9 en la b Maj, Jazz Book – 1.2.3.4.5, Sea Horse, Rue Lette, Music for Little Hands - 1.2.3.4.5.6, Ma Petite, The Art of the Canon. Book I - Canon n°1 en do Maj, Für Fritz, Bird's Lament
François Mardirossian, piano
Megadisc Classics : Moondog était un hippie ou un beatnik ?
Amaury Cornut: À 16 ans, après avoir perdu la vue en ramassant une amorce de dynamite le long d'une ligne de chemin de fer, il s'est laissé pousser une barbe et les cheveux qu'il ne coupera qu'en de rares occasions. Avant d'écrire de la musique il écrivait déjà des poèmes très courts, des sortes de haïkus, des distiques, souvent humoristiques, satiriques ou mélancolique, parfois les trois à la fois. Moondog malicieux dira plus tard, “j'étais un beatnik avant les beatniks”.
François Mardirossian : Moondog était un hobo (1) musicien ; il a été sans domicile fixe durant un certain temps et tentait par tous les moyens de vivre grâce à sa musique. Comme aurait dit Kerouac, c'était un clochard céleste ! Il sautait dans des trains pour rencontrer Bach et au retour il filait écouter Charlie “Bird” Parker et Benny Goodman. Entre-temps il était logé chez Philip Glass, écoutait Duke Ellington et rencontrait Leonard Bernstein et Arturo Toscanini tout en écoutant les répétitions du Philharmonique de New-York.
(1) Aux États-Unis, le terme hobo désigne un sans domicile fixe se déplaçant de ville en ville, le plus souvent en se cachant dans des trains de marchandises.