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Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
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Date de disponibilité: 20/10/2017
Satie - Jacob : Un Sourire pour cent larmes
Eric Verdin, comédien / Maria-Carmen Barboro, pianoDestinataire :
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Label : | Maguelone |
EAN : | 3770003584124 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2017 |
Code Prix : | UVM010 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 20/10/2017 |
Compositeur/Artiste Principal : | Satie / Jacob |
Acte 1 - Max Jacob vu par Guy Goffette et par lui-même / Poème de Guy Goffette - Musique de Francis Poulenc // Acte 2 - Erik Satie vu par lui-même / Texte drik Satie - Musique Claude Debussy // Acte 3 - Miroirs poètique et musicaux / Textes et poèmes de Max Jacob - Musique drik Satie et Francis Poulenc // Acte 4 - Destins croisés / Poèmes de Guillaume Apollinaire et de Paul Eluard - Chorals drik Satie - Musique de Maurice Ogana // Final en Kaléïdoscope - Textes de Guy Goffette et Henri Sauguet - Musique de Francis Poulenc et Erik Satie
Eric Verdin et Maria-Carmen Barboro se retrouvent ici autour dn programme Max Jacob et Erik Satie, deux figures majeures de la première moitié du XXe siècle. Leur cheminement inédit pose un regard singulier sur deux grands artistes trop peu ou mal connus. Regard non conventionnel, non didactique, non exhaustif, mais tout en sensibilité. Cet éclairage croise dutres espaces imaginaires ou réalistes puisés chez dutres écrivains et musiciens français, nourris des mêmes événements douloureux, des mêmes interrogations esthétiques dont les artistes rendent compte par la poésie, les sons, les larmes ou la dérision. Se dessine alors une oeuvre, autre, qui sollicite des deux interprètes (dont un comédien qui lit la musique) une écoute mutuelle attentive comme celle qui serait demandée en duo de musique de chambre. Lnsemble ne pouvait être bouclé sans questionner un artiste contemporain : il a été commandé à Alain Féron une pièce sur un texte de Max Jacob, et son choix se porta sur « Vieux monde brisé ».