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Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
STUCD22042
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Live at Tivoli Gardens 1996 / Allan Botschinsky Quintet
Allan Botschinsky QuintetDestinataire :
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Label : | Stunt Records |
EAN : | 0663993220420 |
Format : | 2 CD |
Nombre du Support : | 2 |
Année édition : | 2022 |
Code Prix : | UVM095 |
Genre : | JAZZ |
Date de Sortie : | 23/09/2022 |
Compositeur/Artiste Principal : | Allan Botschinsky Quintet |
Four (Miles Davis) - A Song For Anna Sophia (Allan Botschinsky) - It's You Or No One (Sammy Cahn / Jule Styne) - I Thought About You (Jimmy van Heusen / Johnny Mercer) - What's New (Bob Haggart / Johnny Burke) - Donna Lee (Charlie Parker / Miles Davis) - What Is This Thing Called Love (Cole Porter) - All Of You (Cole Porter) - Rhythm-a-ning (Thelonius Monk) - It Might As Well Be Spring (Oscar Hammerstein / Richard Rodgers) - I'll Remember April (Gene de Paul / Patricia Johnston / Don Raye)
Allan Botschinsky Quintet : Allan Botschinsky, bugle / Bent Jaedig, sax ténor / Jacob Fischer, guitare / Jesper Lundgaard, basse / Alex Riel, batterie
Stunt Records a exhumé un document particulièrement unique et intriguant : l'enregistrement d'un concert donné en 1996 au Jazzhus Slukefter de Copenhague avec le quintet d'Allan Botschinsky qui, outre le leader (1940-2020), était composé du saxophoniste ténor Bent Jædig (1935-2004), du jeune Jacob Fischer à la guitare, du bassiste Jesper Lundgaard et du batteur Alex Riel, tous récipiendaires du prix Ben Webster qui récompense les meilleurs jazzmen danois. Le soir de ce concert en 1996, c'est le trompettiste, et ce soir là joueur du bugle, qui dirigeait l'orchestre et annonçait les morceaux. Botschinsky s'était déjà fait une place sur la scène du jazz scandinave au milieu des années 1950 et faisait partie des premiers musiciens danois à parler couramment la langue du bebop. On peut en dire autant du saxophoniste ténor Bent Jædig, qui a passé de nombreuses années à tourner aux côtés de musiciens bop sur le circuit européen du jazz jusqu'à la fin des années 60. Il a ensuite été membre du big band de la radio danoise pendant 14 ans. Jædig a également dirigé ses propres groupes et il s'est souvent retrouvé entouré de jeunes musiciens avides de connaissance qui ont réalisé que l'on pouvait apprendre davantage sur le jazz en une seule nuit avec Bent qu'en un semestre entier dans un conservatoire. L'enregistrement est aussi une sorte de document historique, qui rappelle de bons souvenirs de la salle Slukefter, située dans les jardins de Tivoli à Copenhague, aujourd'hui disparue. Sympathique bistrot de quartier, elle accueillait des artistes locaux et internationaux et réunissait un public très hétérogène parfois divisé quant à son appréciation (ou son manque d'appréciation) de la musique et des musiciens. Heureusement pas à cette occasion.