Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
M13032
Nouveau
Stéphane Grappelli, violon / Maurice Vander, piano / Hans Jones Laslast, basse / Rolf Ahrens, batterie
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
NDR 60 Years Jazz Edition Vol.3 / Stéphane Grappelli Ensemble
Stéphane Grappelli, violon / Maurice Vander, piano / Hans Jones Laslast, basse / Rolf Ahrens, batterie
Destinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Moosicus |
EAN : | 4017425130324 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2013 |
Code Prix : | UVM112 |
Genre : | JAZZ |
Date de Sortie : | 25/10/2019 |
Compositeur/Artiste Principal : | Stéphane Grappelli Ensemble |
Autumn In New York - Jeepers Creepers - These Foolish things - She´s Funny that Way - Nuages / Swing - It Might As Well Be Spring - Hambourg Souvenir - Vours Qui Passez Sans Me Voir - Lady Be Good - A Flower Ia A Love - Some Thing - I Can´t Belive That You´re In Love With Me - Manoir De Mes Reves - How About You? - The Lady Is A Tramp - Louis Blues - A Girl In Calico - I´ll Remember April - Blue Moon - How High The Moon - Pennies From Heaven / Enregistrement au studio NDR de Hambourg du 17 Mai 1957
Surprenant : entre la fin des années 40 et le milieu des années 60, on ne compte qu'une poignée d'enregistrements de Stéphane Grappelli en studio. Il s'est largement rattrapé jusqu'à sa mort en 1997 (et avait pris de l'avance avec le Quintet du Hot Club de France auparavant.). En 1957, le violoniste avait 49 ans. Une raison, technologique : au cours des années 50, la prise de son avait considérablement évolué et l'amplification des instruments également. Mais Grappelli peinait à trouver un système satisfaisant qui ne dénature pas le son de son violon. Autre raison, esthétique cette fois, le jazz dans l'air du temps, le hard-bop, plongeait dans un univers de la culture populaire afro-américaine (gospel, soul) loin des références de Stéphane Grappelli. Et s'il est probable que la disparition de Django en 1953 avait agi comme une perte de repère, il faut se souvenir qu'après avoir côtoyé George Shearing lors de son exil londonien, découvrant ainsi un nouveau langage harmonique, Grappelli l'autodidacte dut travailler d'arrache-pied sa technique instrumentale pour s'adapter au bebop, en retenant toutes les leçons du bel canto des violonistes classiques. Publiée chez Moosicus, cette session inédite d'Hambourg en 1957 est ainsi à appréhender comme le témoignage d'un nouveau départ : fidélité au répertoire swing des grands standards avec une technique instrumentale totalement épanouie, toute en grâce aérienne. À ses côtés, Grappelli avait emmené le pianiste Maurice Vander, de 20 ans son cadet, et trouvé sur place une paire rythmique impeccable. Sa devise éternelle est là on ne peut plus justifiée : « Le jazz c'est du pur feeling, c'est une question de cour ; ce n'est que lorsqu'on a du feeling que la musique s'accomplit comme par enchantement. »