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Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
M12192
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Conversation & Live à Sommerhausen / Marion Brown
Marion BrownDestinataire :
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Label : | Moosicus |
EAN : | 0885513121929 |
Format : | 2 CD |
Nombre du Support : | 2 |
Année édition : | 2023 |
Code Prix : | UVM001 |
Genre : | JAZZ |
Date de Sortie : | 20/10/2023 |
Compositeur/Artiste Principal : | Marion Brown |
// Conversation : Gesprächsfetzen - Exhibit A - Babudah - Tomorrow Is The Beginning Of The End Of Yesterday - Aba - // Live à Sommerhausen : Dance n°1 - Exhibit B - The Sound Of A Song - Malipieros Midnight Theatre - Il Ne Chant Pas - Dance n°2 // Enregistrements historiques en live du Modern Theater de Munich/Allemagne du 20 septembre 1968 ("Conversation") et du Bavarian State Conservatory of Music de Wuerzburg/Allemagne du 17 mai 1969 ("In Sommerhausen").
Marion Brown, sax alto / Gunter Hampel, vibraphone, sax, flûte, piano, clarinette basse / Jeanne Lee, voix
Le saxophoniste alto Marion Brown a d'abord été un héros sous-estimé de l'avant-garde du jazz. Ce n'est qu'après avoir quitté Atlanta pour New York et rejoint John Coltrane que le public et les critiques l'ont remarqué. Dévoué à la découverte des vastes possibilités de l'expression improvisée, Brown possédait une voix véritablement lyrique. Au début des années soixante-dix, il a joué avec Anthony Braxton, Andrew Cyrille, Bennie Maupin, Jeanne Lee et Chick Corea, entre autres. Sur cet enregistrement, il est accompagné par le musicien de jazz allemand Gunter Hampel (compositeur, vibraphoniste, saxophoniste, flûtiste, pianiste et clarinettiste basse).
Son fils Djinji se souvient de son père en disant : "La façon dont il jouait ressemblait à sa voix, la façon dont il tenait son sax me rappelait la façon dont il tenait ma main, la façon dont il marchait était dans le même rythme que ses chansons, et alors tout prenait un sens. Sa musique était avant tout ce qu'il était. C'était l'expression la plus pure de son âme, et tout ce qu'il faisait avait la même force douce que sa musique. Il ne faisait vraiment qu'un avec son art ; il n'y avait pas de séparation entre les deux".