Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Boulou Ferré / Elios Ferré / Didier Lockwood / Philip Catherine / Lee...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
CD006609
Nouveau
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
Serge Gainsbourg tel qu'elle 1958-1968 / Bévinda
BévindaDestinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Celluloid |
EAN : | 3700409866098 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2007 |
Code Prix : | UVM062 |
Genre : | VARIETE FRANCAISE |
Date de Sortie : | 18/02/2022 |
Compositeur/Artiste Principal : | Gainsbourg |
Douze belles dans la peau - Ce mortel ennui - L'alcool - L'eau à la bouche - Les amours perdues - En relisant ta lettre - La femme des uns sous le corp des autres - Dieu que les hommes sont méchantes - Les goémons - L'anamour - Le rock de nerval - Bevinda ; Gérard De Nerval - La recette de l'amour fou - Ces petits rien - Pauvre Lola - Le poiçonneur des Lilas - La chanson de Prévert - Quand tu t'y mets / Gérard De Nerval (auteur) - Serge Gainsbourg (auteur)
Bévinda, voix
Connue comme interprète d'un fado moderne et ouvert sur les musiques du monde, Bévinda s'en écarte le temps d'une parenthèse consacrée à Serge Gainsbourg, l'un des auteurs-compositeurs qu'elle appréciait dans ses années de formation.
L'opulent opus de dix-sept titres se concentre sur la première période de l'auteur du « Poinçonneur des Lilas » (qu'elle n'omet pas de reprendre), et plus particulièrement le répertoire des trois premiers albums parus entre 1958 à 1961. L'option choisie par la chanteuse franco-portugaise confine à l'élégance du trio jazz guitare-contrebasse-batterie tel que celui développé par Gainsbourg dans son album Confidentiel de 1963. Des interprétations toutes en retenue de « L'eau à la bouche », « Douze belles dans la peau » ou « La Chanson de Prévert » côtoient des versions de titres postérieurs comme « Pauvre Lola » ou le tardif « L'Anamour ».
Dans ce florilège où l'artiste évolue très à l'aise et bien entourée, figure la petite perle oubliée qu'est « Dieu que les hommes sont méchantes », inscrite au tour de chant du Théâtre des Capucines fin 1963 et écartée du disque pour son sujet tabou de l'homosexualité, et dont il ne subsiste qu'une version en public et une autre en télé mêlant Claude Brasseur et Jean-Pierre Marielle (Top à Jean-Pierre Cassel). Gainsbourg par Bévinda reste tel quel, classique et indémodable. Loïc Picaud - Copyright 2019 Music Story